mardi 18 décembre 2012

Le goût des listes






(Nonobstant: petit effet d'annonce. Notation infra-paginale d'une enquête épistémologique à paraître en ces colonnes, de grande paresse ET de haute volée, donc, sur l'Etat d'une "critique" qui n'intéresse plus grand monde, il est vrai, mais un monde désormais tout petit-petit, peu ou prou réduit au nombre de followers sur un mur à graffitis facebookesque).

Lu sur un forum voisin le nouveau "concept" marketing-subtil proposé dans la dernière livraison des dcd, revue trend-tendance destinée à divertir quelques cadres dynamiques un chouïa stressés par la violence mortifère des rapports sociaux.
Il s'y agit de répertorier les "tares" minant le cinéma contemporain, selon la taxinomie suivante:

1. Le pitch
2. La continuité dialoguée
3. Le syndrome Natasha Kampusch
4. Le culte de la maîtrise
5. Un sérieux de pape
6. Des films sans images
7. Les acteurs interchangeables
8. Les non-lieux du montage
9. Le radical chic
10. La fantaisie pas drôle


C'est beau et fascinant, quelque part, cet exercice de style. En ce qu'il énonce, au plus près d'une vérité mi-dite mi-tue aux abords d'un inconscient en semi-travail, les 10 tendances dominantes dudit trendmag depuis au moins une décennie:

1. La pensée-pitch
2. La continuité monologuée
3. Le syndrome François Bégaudeau
4. La maitrise du culte-de-soi
5. Un papisme du fun
6. Des articles sans idées
7. Des rédacteurs interchangeables
8. Le montage de non-lieux analytiques
9. Le radical chic du snobisme endogamique
10. La fantaisie pas drôle d'un sous-produit de Flair & Cosmopolitan.



43 commentaires:

Anonyme a dit…

Je veux juste vous dire que j'aime beaucoup votre humour, votre sens de la formule, et votre liberté de penser. Je suis arrivée sur votre bloc par la recommandation d'un ami, et je me réguale. Vous parvenez à mettre des mots sur les sentiments de beaucoup. Merci.

Anonyme a dit…

Oups, j'oubliais, je suis Florent Pagny. Oui oui, le vrai. Je suis à la recherche un parolier. Je vous communique mon mail d'ici peu. Encore bravo.

jerzy pericolosospore a dit…

Merci, cher Florent, ça me touche énormément. Votre témoignage n'est pas le fruit du hasard, disons plutôt d'un heureux hasard, de ce hasard nécessaire qui fait les synchronicités. Nous partageons un foyer de valeurs, de préoccupations, sensibles, déjà, dans cet art de la formule que nous chérissons. De l'alliage de votre sensibilité et de mon talent, joints à cette affirmation insolente de notre liberté irréductible, résultera une symbiose créatrice dont je me réguale déjà.
Vous dire l'impatience, l'excitation où je me trouve et, j'en formule le vœu, vous les redire encore, toutes paroles bues et tues, en vous rencontrant, de manière plus intime, secrète, à l'abri des indiscrétions de tous ordres... J'attends, donc, et j'espère, ose espérer, cher Florent, sans vouloir vous presser en quelque façon, l'imminente réception de votre mail, concrétisant la promesse de cet "ici peu" pudique et frustrant. A très bientôt, Florent.

Anonyme a dit…

Ah! qu'en termes gualants ces choses là sont mises!

jerzy pericolosospore a dit…

"Régualer" est très précisément le mot, le code, permettant que Florent et moi puissions dûment nous identifier, sans nous laisser leurrer par des imitations de nous-mêmes. Relisez l'ensemble, vous constaterez cette marque évidente d'une complicité nouée bien en amont, et que masque éléguamment le message de Florent.

Anonyme a dit…

Suggestion de titre au parolier: "La gualante du pauvre Florenz"; ça t'as de guele ça, non?

Anonyme a dit…

La

Florence a dit…

Mis à part les commentaires cyniques, je vous félicite pour dire haut (= écrire dans un espace publique) ce que je (ainsi que bien d'autres) pense(nt) tout bas (médiocrité de la critique, autosuffisance, égoïsme, etc).

Anonyme a dit…

Oups, j'ai écrit "Florence" ? C'était "Florent", of course. Je me suis grillé là, comme une conne ! Bon, oui, voilà, c'est dit, ou lâché, j'ai changé de sexe, et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai pensé à vous. N'ouvrez pas ces grands yeux coquins ! Je m'explique : je me suis dit que vous seriez le seul au monde capable de faire avaler cette hénaurme surprise à mon public, et ce grâce à votre humour sans faille. Je compte vous faire écrire treize ou quinze chansons sur le charcutage de mon pénis, ça vous intéresse ? On en recause.

jerzy pericolosospore a dit…

Chère Florence, ô you badboy, vous n'en ferez jamais d'autres! Vous m'en faites voir des vertes et des pas mûres. Votre mail, qui s'annonçait d'ici-peu, ne m'est toujours pas parvenu. Ce n'est pas parce qu'on change de sexe qu'on ne doit pas honorer ses engagements, vilaine. Ah, et aussi, permettez ce léger recadrage épistémémé? épistémomo? épistémologique, voyons: je ne dis pas haut, dans un espace public, ce que bien d'autres pensent tout bas, selon l'antienne (de la "liberté de penser"), au sujet de la critique ou autre; je me plais au contraire à rendre au silence, enfin, celui d'un espace clos, privatif et privé (de communication, notamment), ce que bien d'autres pensent et disent tout haut et très fort. Un bruit constant qui vibrionne, écornifle, assomme, empêche leurs voisins de se reposer. Bouton intime d'une radio extime dont le centre est partout et la circonférence nulle part.

" Nous sommes transpercés de paroles inutiles, de quantités démentes de paroles et d’images. La bêtise n’est jamais muette ni aveugle. Si bien que le problème n’est plus de faire que les gens s’expriment, mais de leur ménager des vacuoles de solitude et de silence à partir desquelles ils auraient enfin quelque chose à dire. "

Aussi mon crédo est moins la "liberté de penser" que la liberté de se taire, jointe au divertissement (plaisant) de renvoyer au silence (ou à sa version "communicante": le vacarme) les hauts-parleurs de toutes sortes et de tous ordres.
Tâchez de bien saisir cette nuance essentielle, chère Florence, il en va de l'osmose de notre collaboration future. Et veuillez excuser ce ton pète-sec, vous me trouvez dans une disposition peu propice aux confidences sur l'oreiller: je me suis empiffré plus que de raison de tarte au riz (avec macaron). Donc j'ai un peu la chiasse. Bisous et bonne année quand-même, Flo.

Anonyme a dit…

" Nous sommes transpercés de paroles inutiles, de quantités démentes de paroles et d’images. La bêtise n’est jamais muette ni aveugle. Si bien que le problème n’est plus de faire que les gens s’expriment, mais de leur ménager des vacuoles de solitude et de silence à partir desquelles ils auraient enfin quelque chose à dire. "

De qui sont ces mots svp? J'aime beaucoup.

Anonyme a dit…

Deleuze dans Pourparlers.

jerzy pericolosospore a dit…

Yes Sir, ou yes Miss! Thanks.

"Le couple déborde", partie du texte "Les intercesseurs" (1985) qu'on retrouve dans Pourparlers (Minuit, 1990, p.176-177).


J'ai déjà cité ce passage - un classique des familles - et qui devrait figurer au fronton de ce blog pourrave :


" On fait parfois comme si les gens ne pouvaient pas s’exprimer. Mais, en fait, ils n’arrêtent pas de s’exprimer. Les couples maudits sont ceux où la femme ne peut pas être distraite ou fatiguée sans que l’homme dise : « Qu’est-ce que tu as ? Exprime-toi… », et l’homme sans que la femme, etc. La radio, la télévision ont fait déborder le couple, l’ont essaimé partout, et nous sommes transpercés de paroles inutiles, de quantités démentes de paroles et d’images. La bêtise n’est jamais muette ni aveugle. Si bien que le problème n’est plus de faire que les gens s’expriment, mais de leur ménager des vacuoles de solitude et de silence à partir desquelles ils auraient enfin quelque chose à dire.

Les forces de répression n’empêchent pas les gens de s’exprimer, elles les forcent au contraire à s’exprimer. Douceur de n’avoir rien à dire, droit de n’avoir rien à dire, puisque c’est la condition pour que se forme quelque chose de rare ou de raréfié qui mériterait un peu d’être dit. Ce dont on crève actuellement, ce n’est pas du brouillage, c’est des propositions qui n’ont aucun intérêt. Or ce qu’on appelle le sens d’une proposition, c’est l’intérêt qu’elle présente. Il n’y a pas d’autre définition du sens, et ça ne fait qu’un avec la nouveauté d’une proposition. On peut écouter des gens pendant des heures : aucun intérêt… C’est pour ça que c’est tellement difficile de discuter, c’est pour ça qu’il n’y a pas lieu de discuter, jamais. On ne va pas dire à quelqu’un : « Ça n’a aucun intérêt, ce que tu dis ! » On peut lui dire : « C’est faux. » Mais ce n’est jamais faux, ce que dit quelqu’un, c’est pas que ce soit faux, c’est que c’est bête ou que ça n’a aucune importance. C’est que ça a été mille fois dit. Les notions d’importance, de nécessité, d’intérêt sont mille fois plus déterminantes que la notion de vérité. Pas du tout parce qu’elles la remplacent, mais parce qu’elles mesurent la vérité de ce que je dis. Même en mathématiques : Poincaré disait que beaucoup de théories mathématiques n’ont aucune importance, aucun intérêt. Il ne disait pas qu’elles étaient fausses, c’était pire."


"Les Intercesseurs" peut être lu dans son intégralité ici:

http://intercession.over-blog.org/pages/les-intercesseurs-g-deleuze-4459829.html

Anonyme a dit…

Merci beaucoup. Ca me parle beaucoup. Le problème, c'est que ça dit tout, que tout y est dit, alors que dire?

Anonyme a dit…

Des choses intéressantes, et à défaut, se marrer de celles qui n'ont aucun intérêt...

Anonyme a dit…

Merci.

Anonyme a dit…

Je voulais aussi "dire" que je ne pense pas que la bêtise "n’est jamais muette ni aveugle". Si je peux me permettre.

Anonyme a dit…

Ni sourde, d'ailleurs. Si je peux aussi me permettre, également, si ça ne vous dérange pas, aussi du reste cependant, à savoir, quel temps fera-t-il demain ou est-ce que la scnb sera encore pire que si elle était meilleure? Car vous me direz ce que vous voulez, c'est pas en allant faire la guerre au Mali qu'on nous rendra le Congo, hein!

Anonyme a dit…

Pardon?
Vous vous moquez, c'est ça?
Pfff.

jerzy pericolosospore a dit…

Anonyme, arrêtez de vous moquer d'Anonyme, merci.

Anonyme a dit…

Quoi? Vous savez pas qu'on fait la guerre au Congo? Ou que les lignes sncb vers le Mali sont toujours en retard? J'ai l'impression que c'est plutôt vous qui vous moquez de vous.

Anonyme a dit…

Je me moque de moi-même? Vous ne savez pas ce que vous écrivez. Ou alors, je ne sais plus qui je suis.
Pfff.

Anonyme a dit…

Je me moque de qui je veux, et même de vous, anomyne Jerzy. Je suis un anonyme audacieux, je sais.

Anonyme a dit…

Cher Jerzy,
A quand un nouveau article??
Je suis impatiente...
Bonne soirée.

Anonyme a dit…

Hellow,

y en a tellement que je ne sais pas lequel choisir. De quoi faire un bottin. ça va viendre, quelques ajustements... Merci pour vos encouragements - et votre bon goût, bien entendu. :-)

JP

Anonyme a dit…

Impatiente dit-elle. Quelle excitante odeur de sexe. Votre texte nouveau, Jerzy, viendra tel un orgasme surpuissant décorner les cocus. Hâte d'assister à ce cataclysme.

Anonyme a dit…

Oui, de quoi faire un "bottin", c'est le mot juste. La lecture de votre blog s'approche en effet de celle de ce chef-d'oeuvre incontesté des Editions RTT: on lit deux pages, et on décroche...

Au plaisir d'un prochain bon mot. De bon ou de mauvais goût, on s'en fout dans ce désert où sont nés ces littérateurs qui, fiers de n'avoir pas lu Kafka, saturent le web ici ou là avec l'illusion que leur ongle cassé la veille en sortant leurs poubelles puisse être source d'un quelconque intérêt. En espérant que, à l'instar de l'alcoolique, le littérateur vomisse rapidement sa dernière feuille de chou avant de quitter poliment l'humanité grâce aux services appréciables de la première fenêtre venue.

G.D.

Anonyme a dit…

Une atmosphère étrange semble habiter ce blog... Mais que fait le modérateur?

Anonyme a dit…

Il se modère.

jerzy pericolosospore a dit…

Raccrochez, c'est une horreur.

G.D. n'aurait jamais dit ça, cher anonyme, allons. C'est la preuve que vous ne l'avez jamais lu, pas plus que Kafka.
Mais rassurez-vous, vous faites mieux encore. Sept lignes de votre prose de cabinet, non seulement on décroche, mais on a envie de consulter les pages jaunes pour vous trouver un spécialiste des hémorroïdes...

Anonyme a dit…

C'est carnaval, hein. A c't'époque, les Gilles font les guignols, vous saviez pas ça? Pfff... Je sais pas si vous avez lu Kafka, mais vous auriez pu écrire à sa place (enfin, je parle des situations délirantes, hein, pas du génie, je ne connais pas le vôtre, et je ne voudrais pas vous amoindrir en vous jugeant comme l'égal de Kafka...). Vous avez sans doute pris pour vous la remarque sur les littérateurs. Désolé si vous vous êtes senti concerné. C'est drôlatique d'un côté, désespérant de l'autre.

Sans rancune, je ne faisais que passer.

jerzy pericolosospore a dit…

Me souciant peu de littérature et de littérateurs, je réponds aux lignes qui me sont précisément destinées.
Le côté désespérant (peut-être) - et je vous rassure, pas drolatique pour deux sous - c'est que votre prose vous indispose au point que vous en décrochiez vous-même.

Merci pour vos commentaires constructifs-z-et intéressants. Il vous faut bien sortir vos poubelles, et les déposer quelque part. Sur ma tête par exemple (c'est une image, ne prenez pas ça trop à cœur). Je comprends, et n'ai point de rancune.
Partez le cœur léger, évitez bien sûr les rebords de fenêtre, car comme vous le savez: e pericoloso sporgersi.

Anonyme a dit…

Oh la la! Mais quelle littérature! On dirait un Perec en herbe par un de ces étés caniculaires... Dites-moi: ça chauffe sous l'képi, hein? C'est sur vos pieds que je les déposerais bien, mes poubelles. Ca vous donnerait un prétexte pour cirer une fois de plus vos bottes de chez Thor Steinar!

Vous prétendez ne pas vous intéresser à la littérature (et mon cul, c'est du poulet?) et avec vos grands airs de Castrafion, vous vous permettez de penser (c'est déjà de trop) et même de beugler (meuhhh!!!) que je n'ai pas lu Kafka, pas plus que Gérard Darmont. Alors, si ça, c'est pas une contradiction typique des partisans de l'esthétique selon Hess, alors c'est que l'bon dieu est un bouffon! Et ne me dites, comme d'hab, que c'est celui qui l'dit qui l'est, car non! je ne suis pas le bon dieu!

Et vous non plus.

A.K. (anonyme)

jerzy pericolosospore a dit…

Qui c'est qui beugle ici et s'agite tout partout avec force points d'exclamations et des tas de références qui me passent au dessus du citron?
Vous me causez Perec, Kafka, Thor Steinar, Castrafion, Gérard Darmont, Hess, alors que moi je vous ai juste rappelé une planche de Gotlib. Faut se calmer, pépère, sinon votre pile cardiaque va en prendre un coup. Ouvrez plutôt un blog pour y déposer vos flatules ennuyeuses.

Cordialement,

Anonyme a dit…

C'est pas gentil, ça. Je le prends mal, vous savez. J'avais du respect pour vous, j'espérais en avoir aussi en retour. Tout cela est fort décevant. Je croyais aussi, vu votre style littéraire, que vous portiez des bottes de chez Thor Steinar. J'ai dû faire erreur et m'en excuse.

Corde allemand,

Anonyme à vie.

Anonyme a dit…

Bonsoir,
Il est dommage que tout le monde puisse écrire sous "Anonyme" car au final on pourrait se méprendre sur les identités (je ne sais si c'est clair : ex. moi, qui ne veux pas participer aux échanges violents et insensés que je viens de lire, comment me différenciée des autres anonymes vu que je n'ai pas d'adresse URL ni blog ou autre, et que mon prénom pourrait tout aussi bien être frauduleusement repris par quelqu'un d'autre mal intentioné)?
Donc, pour simplifier, disons que je suis celle qui vous demandait à quand un nouveau article, et plus tôt, celle qui vous félicitait d'exprimer avec tellement de talent des choses profondes - ce qui a ensuite été tourné en ridicule par d'autres commentaires). Alors je veux bien signer de mon prénom, Françoise, mais je sais que ça ne changera rien. J'espère juste que vous saurez me reconnaître parmi les autres. Au cas où, si vous le souhaitez, on peut aussi communiquer par adresse mail privée, afin d'éviter les problèmes que je viens de décrire. Merci.
Françoise.

jerzy pericolosospore a dit…

Ne vous inquiétez point, Françoise. Pas d'échanges violents ni insensés, ici: c'est du slapstick, des Kesytone Cops version "fight-post". Pour moi, c'est presque une routine automatique, acquise à la fréquentation des fora, où on se balance des gentillesses négligemment. C'est comme dire "bonjour" ou "comment ça va". C'est un dur et brutal monde oui, sur la croûte, mais tellement de moelleuse tendresse au dedans. Et je sais différencier "Anonyme" d'"Anonyme". Au parfum. No souçaï, donc :-)

jerzy pericolosospore a dit…

Maiiis moi aussi j'ai du respect pour vous. J'en ai toujours eu, et j'en aurai toujours, allons. Et vous ne me décevez pas, car je crois en vous, dur comme fer.
Simplement, veuillez m'en excuser, j'aime répondre du tac au tac. Une manie, un toc. Puis avec l'âge, je suis devenu dur, méchant, peu compassionnel. Je m'explique pas ça. J'ai des remords, maintenant. A cause de vous. Des réminiscences de l'homme bon que je fus. Laissez-moi déposer cet humble baiser sur votre front courroucé, Anonyme d'un jour - anonyme toujours, à la vie à la mort. Et toutes ces choses.

Anonyme a dit…

Merci.
Françoise (qui attend un nouvel article avec impatience)

Anonyme a dit…

Et plus, si affinités.

Françoise (qui se liquéfie d'impatience)

Anonyme a dit…

joli l'euphémisme pour dire "faire pipi dans sa culotte".

jerzy pericolosospore a dit…

C'est quoi ces grossièretés? On dit ni "pipi" ni "caca" ni "culotte". On fait pas dans le vulgaire ni le scato. Du moins pas dans les comms... Vu?

Bon, faut que je me bouge un peu, j'ai une tonne de matos et un gros poil dans la main. Et qui pousse, pff.
A plus.

Anonyme a dit…

"Amour" de Haneke sorti en DVD. Ca dit quoi? Allez, un p'tit texte?